Le plafonnage à sec et humide, deux méthodes pratiques et différentes.
Les défauts sont souvent les premiers repérés lorsqu’une pièce est étudiée sous toutes les coutures. Pour les supprimer, il est impératif de se focaliser sur diverses techniques, dont le plafonnage. Ce dernier peut être réalisé à sec ou humide.
Le plafonnage humide demande des connaissances précises et une véritable maîtrise
Les nouvelles constructions auront tendance à être réalisées avec le plafonnage humide. Cette technique présente un sérieux atout, le support est à la fois plat et lisse. Pour jouir de ce degré de finition, les professionnels mélangent du plâtre avec de l’eau en choisissant une méthode mécanique ou manuelle. Généralement, seuls les experts se lancent dans cet atelier, car les bricoleurs n’ont pas la technicité suffisante pour obtenir un rendu appréciable.
Le plafonnage à sec est largement répandu puisqu’il est très facile à réaliser même pour les novices
Le plafonnage humide est donc astucieux puisqu’il est également attractif en termes de prix. Si cette méthode ne vous convient pas, il sera tout à fait envisageable de se diriger vers le plafonnage à sec. Certes, le coût peut être plus important, mais cette technique a la particularité d’être adaptée à tous les niveaux de pratique. Vous devez installer au préalable une ossature métallique ou en bois sur laquelle les plaques de plâtre seront fixées avec des vis spécifiques. L’ensemble sera ensuite dissimulé avec un enduit spécial.
Plusieurs épaisseurs sont envisagées pour les plaques de plâtre
Un avantage certain est identifié avec cette méthode, car les plaques sont parfaites pour la réalisation des cloisons ou le doublage de vos murs si vous souhaitez améliorer l’isolation de votre logement. Si vous voulez opter pour cette technique, sachez qu’il existe une épaisseur au niveau des plaques, elle s’échelonne entre 9.5 et 18 mm. Ce choix aura aussi une incidence sur la performance liée à l’isolation de votre pièce.